Contexte : Jusqu'au milieu du XIXe siècle, la Russie s'étendait jusqu'à la mer Noire, mais la Crimée était encore habitée par des Tartares et ils étaient sujets des Turcs.
La guerre de Crimée. — La guerre commença alors et les Turcs, qui, une fois réveillés, étaient de braves soldats, vainquirent les Russes près du Danube. La France et l'Angleterre, en 1854, vinrent en aide aux Turcs, car l'Angleterre craignait l'influence de la Russie en Asie, et l'empereur Napoléon pensait qu'une guerre réussie ferait oublier aux Français la perte de leur liberté. L'Angleterre n'avait pas pris part à une grande guerre depuis près de quarante ans, et elle n'était absolument pas préparée au conflit dans lequel elle s'engageait actuellement. Lord Aberdeen, le Premier ministre, était un amoureux de la paix et n'était pas apte à gérer les affaires à un moment pareil. Le siège principal de la guerre était la Crimée, sur la mer Noire, bien que la Baltique, la mer Blanche et l'Arménie russe fussent le théâtre de conflits. Kars, une forteresse en Arménie, fut courageusement défendue par les Turcs sous le commandement du général Williams (plus tard commandant des troupes britanniques au Canada), mais se rendit finalement à des conditions honorables vers la fin de la guerre.
C'est au début du mois de septembre que les Alliés atteignirent la Crimée et, peu de temps après, le 20 septembre, ils vainquirent les Russes sur la rivière Alma. Les Russes se retirèrent désormais à Sébastopol, une forteresse solide de Crimée, et le retard des Alliés leur donna le temps de renforcer ses défenses. Les Français étaient commandés par le maréchal Saint-Arnaud et les Anglais par Lord Raglan. Les deux commandants moururent avant la fin de la guerre et furent remplacés par le général Pélissier et le général Simpson. Le siège de Sébastopol commença, mais on constata que l'ingénieur russe Todleben avait bien fait son travail et les Alliés furent tenus en échec pendant près d'un an. Parfois, les Russes s'efforçaient de repousser les Alliés, et à Balaclava une lutte acharnée eut lieu, qui servit à faire ressortir les qualités héroïques du soldat britannique. Lord Cardigan, le commandant de la brigade légère, reçut l'ordre de charger l'ennemi et de reprendre quelques canons tombés entre leurs mains, mais il se trompa sur l'ordre et, à la place, ordonna à ses hommes de charger le corps principal de l'armée russe. Ses hommes savaient que c'était une mort presque certaine, mais personne n'hésita. Six cents hommes se précipitèrent tête baissée au milieu de l'armée russe, abattant les artilleurs russes sur leur passage, puis revinrent au milieu d'une grêle mortelle de mousquets et d'artillerie russes. Six cents soldats sont allés dans cette « vallée de la mort », moins de deux cents sont retournés dans les rangs de l’armée britannique. C'était le 25 octobre et le 5 novembre, une bataille sanglante eut lieu à Inkermann, au cours de laquelle le soldat britannique montra que son intelligence était plus que de taille face à la force brute des soldats russes courageux mais ignorants.
Le siège de Sébastopol se poursuivit tout l'hiver malgré les terribles souffrances des soldats britanniques. La mauvaise gestion au pays et en Crimée a laissé les soldats sans vêtements adéquats, sans abri ni nourriture. Des navires chargés de nourriture ont été envoyés, qui n'ont jamais atteint les hommes. Une cargaison de bottes est parvenue aux hommes à moitié chaussés, mais il s'est avéré que les bottes ne contenaient qu'un seul pied. Ce ne sont là que des illustrations de la gestion de la guerre. Les soldats tombèrent malades et ne purent être soignés et soignés correctement. Le résultat fut que de nombreuses personnes moururent dont la vie aurait pu être sauvée grâce à des soins appropriés. Enfin, Miss Florence Nightingale et un groupe de femmes dévouées sortirent pour soigner les malades et les blessés. Très vite, l'état des patients s'est nettement amélioré et, depuis lors, la valeur des femmes dans les hôpitaux militaires a été pleinement reconnue. Au fil du temps, la guerre fut mieux gérée ; il y avait moins de maladies parmi les soldats et de meilleurs moyens étaient trouvés pour leur fournir la nourriture, les vêtements et le logement nécessaires. En Angleterre, le mécontentement face à la manière dont les choses se déroulaient conduisit à la démission de Lord Aberdeen et à Lord Palmerston comme Premier ministre. Le siège de Sébastopol continuait, et on tenta enfin de la prendre d'assaut. Le premier assaut échoua ; le second eut plus de succès. Les Français s'emparèrent de la tour Malakoff et, bien que les Anglais furent repoussés au Redan, les Russes firent sauter les forts et laissèrent Sébastopol aux Alliés en septembre 1855. Peu de temps après, en mars 1856, la paix fut conclue et la Russie, dans le traité de Paris, il est convenu de ne pas reconstruire les fortifications de Sébastopol et de ne pas maintenir de flotte sur la mer Noire.
Pour ne pas dire que les pilotes et les ingénieurs n'ont pas un bon sens de l'humour. Regardez certains des problèmes mis en évidence par les pilotes et les solutions les ingénieurs du service. (Qantas est une compagnie aérienne australienne qu'il n'a jamais eu un accident). (P=le Problème signalé par le pilote, et S=la Solution rendue par les ingénieurs.) P : Le pneu principal de gauche doit presque être changé. S : Presque changé le pneu principal à gauche. P : Le vol se passe bien, seul "l'atterrissage automatique" est un peu dur. S : "Atterrissage automatique" n'est pas installé sur cet avion. P : Il joue quelque chose à bord. S : J'ai serré quelque chose à bord. P: Des bestioles mortes sur le pare-brise. S: Ordonné des bestioles vivantes. P: Signal d'alarme de fuite du train d'atterrissage gauche. S: Signal supprimé. P : Les freins à friction bloquent les valves de vitesse. S : C'est leur objectif. P : Système IFF inutil
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